Ecco il testo completo dell'incontro che il teologo francese Renè Laurentin ha voluto avere con gli Apostoli della Croce Gloriosa in vista della pubblicazione del suo recente libro sulle Apparizioni Mariane. Per il momento pubblichiamo la sola versione originale in lingua francese, presto avremo una versione in italiano.
L'intervista è del Novembre 2006
A. m’a rendu visite bien des fois dans mon ermitage à Grand-Bourg. Maintenant elle est connue à l’échelle internationale puisque ses messages édités en Italie sont traduits en espagnol, flamand, français et roumain. Je l’interroge sur ce qu’elle a reçu du Seigneur et de sa Mère.
Rene Laurentin: Vous êtes née en Italie et vous êtes restée fidèle à votre ville.
Durant votre enfance aviez-vous déjà vu ou entendu Notre Seigneur ou la Vierge?
A.: Non.
A quand remontent vos premières communications?
En 1990: alors commence une nouvelle étape de ma foi par la recherche de Jésus crucifié. D’une certaine manière Il m’a confié à Marie, puis Jésus et Marie sont venus me parler ensemble, comme si Marie confirmait les paroles de Jésus, et Jésus les paroles de Marie.
Vous dites que Jésus vous a confiée à Marie! Avez-vous vu Jésus d’abord?
Je l’avais cherché avant car à un moment donné, j’avais besoin de donner un visage à Dieu, en qui je croyais, mais je n’avais qu’une foi superficielle bien que baptisée catholique. Jusqu’à présent j’aimais Dieu, je cherchais Dieu, mais un Dieu sans visage, un Dieu abstrait. Ma souffrance m’a conduite à chercher Dieu crucifié et je l’ai trouvé en Jésus.
Jésus ne vous l’a pas dit, mais vous a inspiré qu’il vous confiait à Marie.
Oui, Je me suis adressée normalement à Marie afin qu’Elle intercède pour ma conversion et ma guérison.
Vous avez été guérie à ce moment-là?
Oui, peu à peu je fus guérie des blessures de mon enfance.
C’était donc une guérison spirituelle?
La blessure qui était en moi c’était la peur de Dieu. Je l’avais reçue dans l’Eglise, certainement pas par la faute de mon curè, mais a cause de ma perception erronée de Dieu. Pour moi, inconsciemment, celui dont j’avais peur c’était Dieu.
Ce n’était pas une blessure corporelle, mais spirituelle. Où cette guérison vous menait-elle?
Lorsque j’ai retrouvé Jésus et Dieu le Père, il était normal pour moi de retrouver aussi ma féminité, mon être pleinement femme, et le modèle que Jésus m’appelait à réaliser n’était pas celui des féministes.
Vous étiez féministe?
Non. L’ideal de femme selon Dieu c’était Marie.
Si j’ai bien saisi, cela Jésus ne vous l’a pas dit, il vous l’a fait comprendre?
Oui, car pendant l’Eucharistie je me confiais souvent à la Vierge et c’est Elle qui m’a fait comprendre l’Eu¬charistie. Elle m’a donné cette image que vous avez commentée: la Vier¬ge m’y élève par l’Eucharistie dans le sein de La Trinité.
Pourriez-vous préciser la date de votre première rencontre avec Marie?
Pas précisément, mais une des premières images reçues de Marie la représentait portant Jésus. Ce jour-là, Elle m’a dit: « Je suis le piédestal de Jésus.»
Elle m’a fait directement comprendre ce que j’avais considéré d’abord comme une mauvaise image de la Vierge. J’ai mieux compris ensuite: Jésus est le trophée, la coupe où il a versé son sang pour notre salut. Marie, qui présente cette coupe, est ainsi le piédestal de Jésus.
Avez-vous vu Marie comme une personne humaine ou comme un piédestal ou une colonne?
Non, j’ai bien vu Marie et c’est Elle qui m’a dit: «Je suis le piédestal de Jésus.»
Mais l’avez-vous vue comme on voit une femme normalement?
Oui, et je l’ai ressentie dans mon cœur, c’est ensuite que j’ai perçu les nombreuses analogies qui éclairent l’explication de Marie. Elle est tout entière au service de Jésus.
Etait-ce une vision intérieure?
Je ne l’ai pas «vue», je l’ai ressen¬tie dans mon cœur.
Comment avez-vous découvert ces visions intérieures?
Mon directeur spirituel m’avait demandé d’écrire, mais moi j’hésitais un peu, j’avais du mal, alors la Vier¬ge m’a dit: «Ecris!» Alors j’ai commencé. Je répugnais à écrire, mais peu à peu, cela me procurait beaucoup de joie. Les premières images, je les avais dans mon cœur depuis quatre ans, je ne les avais pas écrites car je ne savais pas que je devais m’exécuter pour comprendre.
Vous avez commencé à écrire après 1994?
Oui.
Les images d’avant, vous les avez perdues? Les avez-vous écrites plus tard comme un souvenir?
Ces images étaient claires dans mon esprit. Après les avoir écrites, j’en garde le souvenir, mais pas aussi net qu’avant de les avoir écrites.
Frossard n’aimait pas parler de l’expérience mystique fondatrice de sa vie. Il me disait: «Chaque fois que je le dis ou l’écris, j’en perds!» Vous n’aviez d’abord que des locu-tions. C’est vers 1993 que vous avez commencé à «voir». Comment voyiez-vous la Vierge, pouvez-vous me la décrire? Je voyais la Vierge de différentes façons, cela dépendait du message qu’Elle voulait donner. Je la voyais habillée de quelques manières: en perles précieuses, en dentelle...
Elle portait un habit différent selon le caractère du message, c’était toujours signifìcatif. Vous est-Elle aussi apparue comme a Lourdes en robe blanche et manteau bleu?
Bleu ciel, parfois Elle ne portait pas de manteau, seulement une ceinture.
Cela dépendait du message?
Oui, une fois, par exemple, Elle por¬tait une ceinture de blé, en épi de blé qu’Elle écossait pendant que nous récitions le chapelet en laissant tomber les semences.
Avez-vous donc aussi vu Jésus? Comment était-Il?
Il était souvent vêtu d’un habit blanc et parfois portait un manteau rouge.
Vous l’avez surtout vu comme le Bon Pasteur, et avec les brebis qui sont les âmes des baptisés? Vous avez vu des brebis mais vous avez compris que c’étaient des âmes!
Oui.
L’avez-vous vu avec une brebis sur les épaules?
Oui. Selon ses paroles d’alors et par¬fois aussi comme Agneau.
Y a-t-il une progression dans le message ?
Oui, mais au début il a beaucoup parlé de sa Croix Glorieuse.
C’est un thème central: non pas la Croix douloureuse, mais glorieuse, la Croix après la Croix!
Oui, exactement, une fois ce fut le message principal, ce n’était plus la Croix noire du Calvaire, c’était d’une Croix de lumière dont Il me parlait.
Pour nous, aujourd’hui, la Croix est encore douloureuse, mais elle doit aussi être joyeuse !
Certainement.
La Vierge parle-t-Elle aussi de la Croix?
Oui, un jour la Vierge a parlé pour les prêtres de la Croix Glorieuse, car notre attente est la venue du Christ en Gloire.
Parfois les personnes qui ont des locutions et des visions ont aussi des tentations et des difficultés, en avez-vous aussi? Bien sur, les tentations n’ont pas manqué: c’est clair!
Avez-vous éprouvé des difficultés de discernement pour savoir ce qui vient de Jésus ou de Marie?
Oui, j’ai eu longtemps des doutes ou des incertitudes à propos de ce dis¬cernement.
Un jour, lorsque je communiais, Jésus m’a reproché tendrement: «Tu veux que Je te donne des certitudes, mais je veux de ta part un vrai acte de foi!» Humainement je ne saurai jamais si c’est Jésus qui me parle ou bien Dieu le père.
La Croix Glorieuse est-elle venue au début de l’année 1994 ou plus tard?
Depuis 1994, après avoir trouvé mon père spirituel, j’allais régulièrement dans cette église dont il est le recteur. Il s’y trouvait un très beau crucifix glorieux avec de grands rayons. Ce crucifix m’attirait beaucoup, mais souvent la Croix disparaissait et laissait seulement en moi sa lumière. Ensuite, vers 1998, l’image de la Croix Glorieuse est devenue plus claire: elle semblait s’étendre et embrasser le monde. La Croix du Christ c’est Lui-même, c’est son Alliance avec le monde, c’est ce que représente l’image que j’ai reçue comme couverture d’un de mes livres.
Avez-vous plus souvent des apparitions ou des locutions de Jésus ou de Marie?
Dans l’ensemble plus de Jésus, mais je n’ai jamais compté.
Dans votre ville, vous avez des relations. Etes-vous connue comme voyante ou non?
La nouvelle se répand maintenant jusque dans ma ville, mais ce n’est pas à moi de me faire connaître.
Vous êtes consacrée au Seigneur?
Oui, peut-être sans formule, sans voeux, mais je crois que oui.
Jésus vous suffit?
Certainement. Jésus dit: «Celui qui ne Me préfère pas à sa famille n’est pas digne de Moi.»
Oui, selon l’Evangile.
Il y a des moments où il y a un vide.
Avez-vous un groupe de prière particulier?
Cela ne m’est pas possible, je travaille à l’hôpital, je n’ai pas toujours les mêmes horaires, et c’est donc diffi¬cile de former un groupe.
Vous n’avez pas de contact avec des groupes de prière?
Oui, mon père spirituel reçoit tous les soirs, sauf le dimanche, six fois par semaine un groupe de prière différent.
Ah oui, alors vous participez à différents groupes, parlez-vous dans ces groupes? Leur communiquez-vous vos mes-sages?
Non, normalement non.
Vous venez seulement prier avec eux, sans témoigner?
Les témoignages ont été confiés presque exclusivement aux livres et en Italie je ne donne pas de conférences. A l’étranger c’est moins problématique car les gens ne me connaissent pas.
Votre contact est limité a ce prêtre, pour votre vie spirituelle. Connaissez-vous votre évêque? L’avez-vous rencontré?
Une fois personnellement. Je sais que mon guide spirituel lui en a parlé, mais cela s’est produit d’une façon très particulière. Une religieuse postulatrice de la cause des saints et très proche de Jean-Paul II m’avait invitée à envoyer tous mes livres au Saint Père et aussi le chapelet (Coroncina). Je l’ai fait parce que mon guide spirituel m’a dit à cette occasion: «Ce que sœur Caterina te dit est bien!»
Par elle, le Saint Pére a bien reçu personnellement le tout, mais le livre sur l’Eucharistie manquait. J’ai voulu attendre d’avoir le livre sur Marie pour l’envoyer car je savais que Jean-Paul II était très proche de la Vierge et, naturellement, je n’ai pas reçu de réponse directe; mais deux mois plus tard mon évêque m’a appelée.
Donc le cardinal! Et qu’a-t-il dit, des choses positives, des conseils?
Oui, il a parlé a mon guide spirituel et il tenait dans sa main le chapelet de l’Amour, la prière que Jésus m’a confiée. Il a dit qu’elle était très belle.
Quand avez-vous vu votre évêque?
C’était en 2003.
Pour le reste vous a-t-il encouragée?
Oui. Puisqu’il y avait publication, m’a-t-il dit, il fallait l’examiner. Mon guide spirituel suffisait, mais en raison de l’étendue de ces publications, il m’a demandé s’il pouvait les examiner, mais il ne m’a rien dit d’autre. Il a voulu tous les livres, il m’a dit qu’il allait les lire personnellement et ensuite il les remettrait au théologien du diocèse pour un discerne¬ment. Il m’a demandé si j’étais prête à rencontrer ce théologien et j’ai répondu par l’affirmative.
Et pour les prochains écrits?
Il n’a pas abordé ce point, il conti¬nue d’observer avec prudence.
Qu’est-ce que ces communications ont apporté à votre vie?
Ma vie a été transformée. J’avais peur de Dieu et maintenant je me rends compte que je suis infiniment aimée de Lui et surtout appelée à donner aux autres l’expérience de l’amour infi¬ni, de la tendresse infinie de Jésus et de Marie, et aussi la présence de l’Esprit Saint. C’est un bouleversement: avant c’était le terreur, maintenant mon expérience me permet de faire sentir l’Amour de Dieu et l’Eucharistie. Ma vie et mes défauts son restés les même, ma pauvreté est restée, mais ce qui a changé c’est ma certitude de l’Amour de Dieu.
L’Amour de Dieu est le centre du message. Est-ce que vous voyagez?
Oui, surtout en France. Jai été invitée pour plusieurs conférences. Je ne peux accepter que quelques voyages car je travaille et il ne m’est pas possible de me déplacer souvent. Cependant, en cas d’appel, je fais ce que je peux, toujours en demandant à mon guide spirituel. Je ne voulais pas le faire, mais Jésus, à travers mon père spirituel, m’a dit: «Va et fais.»
Maintenant je viens de donner une conférence a Paris.
Une conférence, des exhortations, une prière?
Je récite normalement le chapelet de l’Amour, que Jésus a demandé, avec les gens. Ce chapelet a déjà obtenu beaucoup de grâces, parfois aussi des guérisons et justement, a Paris, une personne a témoigné de la puissance de cette prière, du chapelet, de l’Eucharistie. Des personnes posent des questions, c’est pourquoi il vaut mieux qu’un prêtre soit à mes côtés parce qu’on peut répondre à deux niveaux: en faisant le lien avec l’Evangile.
Avez-vous autre chose à ajouter?
Au début, Jésus a voulu donner le message de la Croix Glorieuse. Ensuite, la Vierge a voulu donner d’une manière particulière une poussée, une impulsion à la certitude du triomphe de son Coeur Immaculé. J’ai compris que je devais faire encore une plaquette en italien. J’ai deman¬dé a l’Esprit Saint de m’inspirer le titre et j’ai fortement entendu : «Oui, mon Cœur Immaculé triomphera!» Le même soir, un ami de Foggia m’a téléphoné pour m’avertir qu’il avait écouté les nouvelles et que sœur Lucia était décédée; pour moi cela a été très important car tout le monde disait avant: «La Vierge a promis a sœur Lucie qu’elle verrait le triomphe de son Coeur Immaculé!»
Mais soeur Lucie est déjà très àgée, disait-on. Ce soir-là Lucie mourait, et au cours de ce même jour la Vierge me disait: «Oui, mon Coeur Imma¬culé triomphera!»
Ce fut le titre du dernier chapitre en langue francaise et du second volu¬me en italien car les éditions sont un peu différentes; pour moi cette coïncidence a été très importante, ce n’est pas qu’une coïnci¬dence!!!
Je ne suis pas spécialement au courant des témoignages de conversions ou de guérisons. Pouvez-vous en parler?
Oui. Il y en a surtout eu à travers le chapelet de l’Amour (chapelet rouge et doré, que Jésus m’avait confìé). Après avoir remis le chapelet au Saint Pére pendant l’audience du mercredi, j’ai demandé à l’Esprit Saint que la bénédiction du Saint Pére descende sur mon chapelet qui était le prototype de tous les autres chapelets. Maintenant, il y en a quelques milliers a travers le monde, qui ont la bénédiction particulière du Saint Pére. Jésus m’a précisé: «Ce cha¬pelet ira de manière particulière aux malades.»
Tous ces chapelets auront cette grâce?
Je ne savais pas ce que Jésus voulait dire, mais plus tard il y a eu de nombreuses guérisons, comme si Jésus, à travers le chapelet de l’Amour, donnait du temps aux personnes. Pour deux cas la maladie est revenue, mais Jésus a donne du temps pour la conversion du malade, déjà moribond, et quand on a prie le chapelet de l’Amour, l’épouse a passe ce chapelet sur le corps de son mari malade. Il s’est rétabli à la surprise générale. Le malade a quitte son lit pendant un an, il a appelé un prêtre. Ce fut une vraie conversion. Il a rechuté, mais il est décédé en paix dans la main de Dieu. Ce fut un exemple pour tous. Nous étions allés voir ensemble la Vierge d’Ulzio.
Avez-vous eu des problèmes avec le démon?
Oui, tout spécialement au début.
Des tentations seulement ou des attaques physiques?
Des tentations, mais pas de blessures; seulement un épuisement, des malaises. Surtout au début, lorsque Jésus m’a dit: «Tu es prête maintenant, ma fille, mon Père a une tâche importante à te confier. Nous t’attendions depuis toujours!» Le jour suivant, le démon a commencé à me jouer tous les tours possibles. Il est vraiment difficile d’expliquer ce qui m’arrivait, c’était comme si le démon voulait me posséder physiquement, presque sexuellement. Le démon est terrible.
Oui, c’est sa façon de débiliter.
Un jour, je l’ai vraiment entendu me dire: «Tu n’auras pas d’homme à part moi.»
Mais ce n’est pas un homme, lui!
Exactement. Mais il n’est pas Dieu non plus et donc il ne pouvait pas dire Dieu, il a dit un homme et c’était très vilain de sa part.
Vous l’avez entendu intérieurement?
Oui. Une force que je ressentais.
Les locutions sont intérieures et les visions aussi?
C’est toujours de l’intérieur, mais je maintiens le contact avec la réalité, bien que je me trouve dans un état particulier.
Vous gardez le contact avec le monde extérieur. Parfois vous êtes plus absorbée, mais ce n’est pas une extase profonde.
Tout à fait.
Avez-vous encore autre chose a nous confier?
Vous semblez hésiter, a quoi pensez-vous?
A la mort de Jean-Paul II, j’ai été inspirée de rassembler les paroles de Jésus relatives au pape. Je reçus alors une image surprenante au sujet de la préparation de sa succession. Je suis partie pour Paris, j’avais une souffrance dans mon cœur qui se répétait. Je voyais la Vierge portant les parements sacrés du pape Jean-Paul II, en drap d’or, les ornements pour les célébrations solennelles et la tiare brodée d’or.. Je ne comprenais pas ce que cette image voulait dire: quand Jean-Paul II est mort, j’étais à Paris.
Cette image signifiait qu’il chargeait la Vierge de remettre la papauté à Benoît XVI, c’est ce que j’ai progressivement compris.
Après la mort du pape, le samedi soir après Pâques, le dimanche de la Miséricorde j’étais â l’église Sainte Cécile. Je priais Jean-Paul II car je me sentais orpheline sans ce pape et alors, j’ai vu la Madone vêtue d’or, comme le pape, tendre la main vers quelqu’un que je ne voyais pas et qui recevait une crosse d’une main invisible, comme pour lui donner une preuve tangible.
Au cours de la première messe pontificale de Benoît XVI, je l’ai vu revêtu comme elle, la Vierge, je l’avais vue, revêtue de tout ce que Jean-Paul II lui avait confié pour le transmettre, sans doute au futur pape car le conclave ne l’avait pas encore élu.
J’ai compris alors le sens de cette vision !
Renè Laurentin
Chretiens Magazine n° 194 – Novembre 2006